« Je regrette de ne pas avoir investi en SCPI plus tôt », l’interview de Patrick R., client de La Centrale des SCPI

Patrick R., bonjour et merci de nous accorder votre témoignage de nouvel investisseur SCPI. Pouvez-vous vous présenter ?

Bonjour, je suis Patrick R. et j’ai 59 ans. Je suis divorcé et travaille dans une grande entreprise publique. Je suis effectivement un nouvel investisseur en SCPI. Il faut dire que je me ne suis pas vraiment préoccupé de la gestion de mon patrimoine jusqu’à présent. J’ai fait construire avec ma femme, une maison que j’ai gardée et j’avais quelques économies mais rien de plus.

Dans quels actifs avez-vous placé votre épargne ?

Comme l’immense majorité des Français, je possède un livret A et un contrat d’assurance-vie en fonds euros. Mon conseillé bancaire ne s’est pas soucié de la manière dont je pouvais placer mon argent de manière efficace. Je n’ai jamais été un client à problèmes puisque je n’ai jamais été à découvert. Comme je dispose de la sécurité de l’emploi, je me suis davantage intéressé à mes enfants qu’à la gestion de mon patrimoine. Maintenant qu’ils sont grands et que la retraite approche, je me dis qu’il est enfin temps que mon argent travaille pour moi et non l’inverse.

Qu’est-ce qui vous a donné envie d’investir en parts de SCPI de rendement ?

Je ne vous cacherai pas que j’ai eu pendant des années l’impression de me faire instrumentaliser par ma banque. La hausse de l’inflation a été le déclencheur de mon envie de ne plus subir ma perte de pouvoir d’achat. Je ne savais pas que les meilleures SCPI rapportaient autour de 6 % nets par an. C’est beaucoup mieux que les contrats d’assurance-vie en fonds euros et bien évidemment que le livret A.

En investissant en parts de SCPI de rendement, j’ai le sentiment que mon argent sert à quelque chose et que je participe au développement de l’économie. Je fais désormais partie d’une grande famille, celle des investisseurs immobiliers.

Vous étiez-vous déjà intéressé à l’immobilier ?

Pas vraiment, hormis lorsque mon ex-femme et moi-même avons fait construire notre maison. Je savais que gérer des locataires n’était pas fait pour moi et, avec les impayés de loyers qui s’annoncent, la situation va être encore pire. Je n’ai donc jamais eu envie d’investir en immobilier locatif. Comme je ne connais rien à la Bourse, j’ai donc placé mon argent sur un contrat d’assurance-vie après avoir eu un livret à l’adolescence.

Comment avez-vous connu La Centrale des SCPI ?

C’est en discutant avec un collègue de travail que j’ai découvert le monde des SCPI de rendement. Ce dernier, plus jeune que moi, a acheté ses premières SCPI il y a maintenant huit ans et a en acquis de nouvelles à crédit. Je me suis documenté sur Internet et j’ai compris le fonctionnement des SCPI.

Je me suis dit que ce placement était fait pour moi. J’ai donc contacté par téléphone (01.44.56.00.23) mon interlocuteur de La Centrale des SCPI et nous avons pu échanger un long moment.

Qu’est-ce qui vous a plus dans l’approche de La Centrale des SCPI ?

En premier lieu, le fait que cette société distribue toutes les SCPI du marché. Ce choix de SCPI permet de se constituer son portefeuille SCPI au même endroit. J’ai aussi été très intéressé par le fait que le prix des parts des SCPI de rendement était le même partout. En passant par La Centrale des SCPI, il n’existe aucun surcoût et il est possible de bénéficier de services supplémentaires gratuitement.

Au départ, j’étais un peu méfiant parce que je me demandais si cette société était réellement indépendante. Lorsque j’ai eu la certitude que c’était bien le cas, je me suis dit que La Centrale des SCPI ne pouvait proposer que les meilleures SCPI du marché.

Quelles SCPI avez-vous achetées via La Centrale des SCPI ?

J’ai commencé, sur le conseil de mon conseiller, à investir dans une grosse SCPI. J’étais convaincu du fait qu’elle ne risquait pas de disparaître. En fait, elle risquait d’autant moins de disparaître que jamais une seule SCPI n’a fait faillite. Bref, j’ai acheté des parts d’une SCPI de bureaux française, en l’occurrence la SCPI Primopierre, gérée par Primonial REIM.

Une fois ces bonnes bases établies, j’ai acheté, quatre mois plus tard, des parts d’une SCPI européenne. J’avais un peu peur à l’idée d’investir mon argent à l’étranger mais, finalement, placer son épargne à l’étranger n’a rien d’extraordinaire. Je ne savais d’ailleurs pas que les dividendes versés grâce aux loyers payés en dehors de la France n’étaient pas assujettis aux prélèvements sociaux au taux de 17,2 %.

Concrètement, j’ai acheté des parts de la SCPI Corum Eurion, gérée par Corum Asset Management. Corum Eurion est une SCPI diversifiée, tant par typologie d’actifs que par pays européens. Cette mutualisation de premier ordre constitue un atout de taille en matière de gestion des risques.

Parce qu’il faut mixer au moins trois SCPI de rendement pour se constituer un portefeuille SCPI résilient, j’ai ensuite porté mon choix sur la SCPI Pierval Santé, gérée par Euryale Asset Management. Pierval Santé est une SCPI européenne qui n’investit que dans un seul secteur et quel secteur ! Lorsque je disais tout à l’heure que j’avais l’impression de participer à l’activité économique, je ne me trompais pas.

Voilà les trois SCPI de rendement dans lesquelles j’ai investi dernièrement avec La Centrale des SCPI. Je ne vais cependant pas m’arrêter en si bon chemin puisqu’il est possible d’acheter ses SCPI avec quelques milliers d’euros.

Je comprends que vous êtes très heureux d’avoir investi en SCPI de rendement mais avez-vous des regrets ?

Oui, j’ai un regret, et il est de taille : je regrette de n’avoir pas investi en SCPI plutôt. Il n’est certes jamais trop tard pour bien faire mais quand même… En tout cas, les prochaines SCPI que j’achèterai, je les achèterai en démembrement viager afin de préparer ma succession dans les meilleures conditions avec les consultants de La Centrale des SCPI.

Merci pour votre précieux témoignage qui prouve que placer son argent en SCPI de rendement est préférable à la détention d’un contrat d’assurance-vie en fonds euros, surtout en période d’inflation, comme nous le vivons actuellement.

C’est moi qui vous remercie de m’avoir donné la parole.