Les SCPI : l'arme anti-Brexit pour votre patrimoine
Le sociologue, historien et géographe français André Siegfried disait fort justement que "l'Angleterre est une île entourée d'eau de toutes parts." Après une campagne électorale incertaine, nos amis britanniques lui ont totalement donné raison puisqu'ils se sont finalement décidés en faveur de leur sortie de l'Europe. Les résultats sont sans appel puisque le NON l'a emporté avec près de 52 % de voix. Le taux de participation a dépassé 72 %, ce qui constitue un chiffre important.
Le Brexit est donc devenu une réalité puisque, de l'autre côté du Channel, le désir d'un retour au splendide isolement a prévalu. Que faire maintenant que le Royaume-Uni vient de claquer la porte de l’Europe en refusant de s’associer aux décisions prises par les 27 autres membres ?
Si les conséquences politiques et économiques d'une telle décision dépassent, et de très loin, le cadre du monde des sociétés civiles de placement immobilier, les SCPI, force est de constater que l'impact de ce choix va avoir des conséquences pour les épargnants.
La première conséquence, et elle a été immédiate, a été le plongeon des marchés financiers. Ces derniers ayant horreur des incertitudes, une vague de ventes massives a submergé la Bourse de Paris qui a abandonné jusqu'à plus de 10 % vendredi dans la matinée. Cela a un impact réel sur les avoirs en actions de nos compatriotes.
Cette volatilité importante a induit ce que les spécialistes appellent le Fly to quality. En d'autres termes, les investisseurs se sont rués vers les obligations d'Etat dont le taux a littéralement piqué du nez. Ainsi, le taux de l'OAT à 10 ans est passé de 0,42 % jeudi à 0,34 % vendredi, atteignant un quasi plus bas historique. Cela induit mécaniquement un renchérissement du prix des obligations, mais surtout une très faible, pour ne pas dire insignifiante, rémunération pour les personnes investissant en obligations.
Or, les contrats d'assurance vie en euros, sont justement investis en obligations. Il va en résulter fort logiquement un reflux important des taux servis. Les observateurs se demandaient si la rémunération moyenne des contrats d'assurance vie allait rester au-delà des 2 % en 2016 ; il est désormais fort probable qu'elle casse ce plancher.
Par conséquent, l'attrait déjà limité de l'assurance vie devient... encore plus limité pour les épargnants. Si l'on se résume, la Bourse recule et les contrats d'assurance vie ne vont bientôt plus rapporter qu'un rendement famélique. Que reste -t-il ? L'immobilier. Oui, l'immobilier. Mais pas n'importe lequel.
Il reste les SCPI. Le rendement de celles-ci va osciller autour de 4,6 % en 2016, soit plus du double de celui offert par les contrats d'assurance vie en euros. En outre, à l'inverse de l'immobilier détenu en direct, la détention de parts de SCPI ne génère aucun souci de gestion puisque c'est la société qui a créé la SCPI qui s'occupe de tout. Enfin, les risques de perte en capital sont très limités puisqu'un krach immobilier ne semble pas être à l'ordre du jour.
Il faut garder à l’esprit que le départ probable d’entreprises et de sièges sociaux du Royaume-Uni a de fortes chances de profiter à l’immobilier de bureaux du continent, et plus particulièrement à l’immobilier de bureaux parisien. Ce phénomène induira mécaniquement une diminution de la vacance, donc de meilleures entrées de loyers. Il en découlera un meilleur rendement des SCPI investies dans cette thématique.
Ainsi, les SCPI vont devenir l'arme anti-Brexit pour votre patrimoine. Sachant qu'il suffit d'à peu près 1 000 euros pour acheter des parts, l'investissement de départ est à la portée d'une immense majorité de nos concitoyens. S'ils recherchent de la rentabilité et de la sécurité, ce type d'investissement est fait pour eux.
Il suffit simplement de bien choisir parmi les 171 SCPI qui composent le marché afin trouver celle(s) qui correspond(ent) le mieux à ses attentes. Et cela, c'est le métier des consultants de la Centrale des SCPI.
Leur expérience dans ce domaine et leur indépendance constituent des gages de sérieux et de professionnalisme. Aussi, pourquoi ne pas les rencontrer afin d'évoquer toutes ces questions, notamment celles ayant trait à l'avenir de votre patrimoine ?
Pour ce faire, il vous suffit de nous rendre visite au 15 rue Saint Roch, dans le 1er arrondissement de Paris, au sein de la première boutique consacrée exclusivement à la distribution de parts de SCPI. Avec ou sans rendez-vous, vous serez reçu(e) par un conseiller qui déterminera avec vous votre profil d'investisseur.
Si vous n'habitez pas en région parisienne ou n'avez pas l'occasion de venir dans la capitale, vous pouvez nous contacter par téléphone afin de prendre attache avec un conseiller dédié. Enfin, en visitant notre site Internet : www.centraledesscpi.com, vous trouverez toutes les informations utiles et vous pourrez souscrire directement.
Aussi, ne pâtissez pas de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne et souscrivez à des parts de SCPI. Votre patrimoine ne s'en portera que mieux.