Pourquoi il est urgent d’anticiper les conséquences des élections législatives sur votre épargne ?
Le 9 juin dernier, le président Emmanuel Macron a annoncé la dissolution de l'Assemblée Nationale, déclenchant ainsi de nouvelles élections législatives pour 2024. Cette décision a des implications potentielles majeures pour les citoyens français, notamment en matière de prélèvements sociaux, de taxation de l'épargne, et de gestion des assurances vie. Dans ce contexte, il est important d'anticiper et de prendre des mesures pour protéger son épargne et son patrimoine.
Sommaire
Vers une possible augmentation des prélèvements sociaux et une taxation de l’épargne ?
Blocage des rachats d'assurance vie, que prévoit la Loi Sapin II ?
Volatilité des marchés boursiers et probable augmentation des impôts sur les valeurs mobilières
Investir en dehors des banques : l’immobilier comme valeur refuge en période de crise
Comment rapidement arbitrer son épargne en SCPI ?
Vers une possible augmentation des prélèvements sociaux et une taxation de l’épargne ?
À l'approche des élections législatives de 2024, les principaux partis politiques en lice ont mis en avant des mesures destinées à réduire le déficit budgétaire du pays. Parmi celles-ci, une augmentation significative de la taxation du patrimoine des ménages est envisagée. Ces propositions incluent une hausse de la fiscalité sur le patrimoine financier et l'épargne détenus par les Français se qui créé une incertitude considérable pour les épargnants.
Cette situation oblige les citoyens à anticiper les conséquences de ces mesures et à envisager des alternatives pour protéger leur capital. Les prélèvements sociaux pourraient augmenter, impactant ainsi directement le revenu disponible des ménages. De plus, la taxation de l'épargne pourrait devenir plus stricte, réduisant les rendements nets des placements traditionnels.
Blocage des rachats d'assurance vie, que prévoit la Loi Sapin II ?
En France, les élections législatives imminentes induisent aussi des préoccupations quant à la sécurité des placements traditionnels, comme l'épargne bancaire et les assurances vie. L'assurance vie, avec ses 1 923 milliards d'euros d'encours, représente une ressource considérable pour le gouvernement en période de crise économique. Envisagée comme une cible privilégiée.
En période de crise, la loi Sapin II prévoit en effet, la possibilité de bloquer les rachats d'assurance vie, une mesure qui pourrait être activée dans le contexte instable post-élections. Ce blocage empêcherait alors les épargnants d'accéder à leurs fonds. Il pourrait donc être essentiel d’arbitrer en amont ce type de contrat vers des placements plus flexibles et moins sujets à ces restrictions.
Volatilité des marchés boursiers et probable augmentation des impôts sur les valeurs mobilières
Outre la forte volatilité attendue sur les marchés boursiers rendant les investissements en actions et autres valeurs mobilières particulièrement risqués, les impôts sur ces placements pourraient eux aussi augmenter de manière drastique. Les propositions des partis politiques pour les élections législatives de 2024 incluent des hausses significatives des taxes sur les gains en capital et les dividendes, ce qui pourrait réduire considérablement les rendements nets pour les investisseurs.
En parallèle, le débat sur le retour de l'Impôt de Solidarité sur la Fortune (ISF) gagne en intensité. Plusieurs partis politiques plaident pour sa réintroduction afin de réduire le déficit budgétaire. Si cette mesure est adoptée, elle imposerait une charge fiscale supplémentaire importante sur les patrimoines élevés, notamment sur les actifs financiers.
Cette conjoncture défavorable renforce l'attrait des placements plus stables pour protéger et optimiser son patrimoine.
Investir en dehors des banques : l’immobilier comme valeur refuge en période de crise
Investir en dehors des circuits bancaires traditionnels peut offrir une protection contre les possibles mesures fiscales restrictives. L'immobilier offre une stabilité rassurante. Contrairement à l'acquisition d'immobilier en direct, qui est un processus long et complexe impliquant des recherches, des visites, des négociations, et des démarches administratives, les SCPI de rendement se démarquent par leur accessibilité simplifiée.
Les SCPI donnent la possibilité aux investisseurs d'acquérir un patrimoine immobilier locatif diversifié. Les revenus générés par les loyers sont ensuite redistribués aux investisseurs directement sur leur compte en banque mensuellement ou trimestriellement. Avec des rendements potentiels dépassant les 7%, les SCPI de rendement se présentent comme une alternative aux placements bancaires.
Les SCPI permettent également de bénéficier d'une fiscalité avantageuse grâce aux revenus issus de l’étranger, protégés par les réglementations européennes et les conventions fiscales bilatérales entre la France et les autres pays.
Comment rapidement arbitrer son épargne en SCPI ?
Face à la possible augmentation de la taxation des salaires et de l'épargne, les revenus complémentaires générés par les SCPI pourraient devenir essentiels pour de nombreux ménages.
Grâce à des plateformes en ligne comme La Centrale des SCPI www.centraledesscpi.com, il est possible d'investir en quelques clics seulement. Ce site permet aux épargnants de comparer facilement les différentes SCPI disponibles, de consulter des analyses détaillées, et de bénéficier de l'accompagnement de consultants spécialisés joignables au 01 44 56 00 23.
En quelques étapes simples, les français peuvent ainsi arbitrer leur épargne, investir dans des parts de SCPI, et commencer à percevoir des revenus complémentaires tout en bénéficiant d'une fiscalité avantageuse.