Qu’est-ce qu’une expérience client à la centrale des scpi?
Parce que ce sont les clients qui parlent le mieux des services et produits dont ils ont bénéficié, La Centrale des SCPI a décidé de leur donner la parole. Un investissement immobilier nécessitant davantage de temps avant de se décider que l’achat d’une crème solaire ou d’un cartable pour la rentrée des classes, il nous est apparu nécessaire, avec ce témoignage, d’illustrer notre relation clients et nos méthodes de travail. Voici donc ce qu’en pense Marc L.
- Marc L. vous êtes client de La Centrale des SCPI depuis plus d’une année maintenant. Pouvez-vous vous présenter et nous expliquer votre rencontre avec Grégorie Moulinier, l’un des associés fondateurs du leader français de la distribution de SCPI par Internet ?
Je m’appelle Marc L, j’ai 56 ans et suis divorcé. Je suis cadre dans une entreprise parisienne et, comme beaucoup de personnes de ma génération, j’ai dû me faire à l’idée que ma retraite allait être moins élevée que ce que je pensais. Cela m’a conduit à me poser des questions, d’autant que je vois mes parents vieillir et que je ne suis pas certain qu’ils puissent financer de probables frais de séjour dans un EHPAD sans vendre leur maison.
Aussi, maintenant que mon logement est payé puisque j’ai racheté sa part à mon ex-femme et que mon fils a trouvé un CDI, j’ai pris le temps de réfléchir à ma situation financière. Bien évidemment, je disposerai d’une retraite de base et de retraites complémentaires mais leur montant a de fortes chances de ne pas me permettre de conserver mon niveau de vie actuel.
C’est pour cela que je me suis mis en quête d’un investissement immobilier afin de bénéficier de revenus du patrimoine. J’avais d’abord pensé à acheter en direct grâce à un crédit pour profiter du faible niveau actuel des taux d’intérêt mais je devais investir au moins 200 000 euros pour un investissement locatif, ce qui m’a fait réfléchir. J’ai d’autant plus réfléchi qu’avec cette somme, je ne pouvais devenir propriétaire que d’un seul bien immobilier, sans profiter le moins du monde d’une mutualisation. J’ai donc laissé cette idée de côté tout en continuant mes recherches.
C’est en surfant sur Internet que j’ai découvert le portail SCPI : La Centrale des SCPI. Je ne connaissais pas très bien les sociétés civiles de placement immobilier même si j’en avais déjà entendu parler. J’ai donc passé du temps à me documenter sur ce site et ai finalement téléphoné au 01.44.56.00.23 un samedi matin afin de prendre rendez-vous pour la semaine suivante. Rendez-vous fut donc pris avec Grégorie Moulinier, l’un des associés-fondateurs.
- Comment s’est déroulée votre première rencontre avec Grégorie Moulinier ?
J’ai été accueilli à l’heure prévue et de manière chaleureuse autour d’un café. Les locaux de la boutique de La Centrale des SCPI, sont très faciles d’accès, à quelques minutes à pied des stations de métro Pyramides et Tuileries, dans le 1er arrondissement de Paris. J’ai été reçu dans un bureau agréable et Grégorie Moulinier a commencé par me laisser parler afin que je puisse lui expliquer ma problématique patrimoniale. Il m’a ensuite expliqué clairement ce qu’étaient les SCPI de rendement en prenant le temps de me préciser notamment les aspects fiscaux de ce placement immobilier.
J’ai pu lui poser toutes les questions qui me venaient à l’esprit, comme celles relatives aux différents modes d’achat des parts de SCPI sachant qu’il y a répondu avec précision et simplicité sans utiliser de jargon.
- Il vous a donc proposé le jour même une allocation de SCPI ?
Non, il m’a donné de la documentation sur les produits d’épargne immobilière assistée dont nous avions parlé et m’a conseillé d’en prendre connaissance. De son côté, il allait étudier plus en profondeur mon dossier. Ayant bien compris que je souhaitais utiliser un effet de levier, il s’est engagé à me trouver le meilleur crédit SCPI. Nous sommes simplement partis sur un investissement de 100 000 euros avec un crédit sur une période de 10 ans. J’envisage en effet de prendre ma retraite à 65 ans et de faire coïncider ma cessation d’activité avec le remboursement de ma dernière mensualité.
- Vous êtes donc revenu au 15 rue Saint-Roch une semaine plus tard ?
Effectivement, tout en ayant lu la documentation qui m’avait été fournie et après m’être rendu deux nouvelles fois sur leur site Internet. Grégorie Moulinier m’a tout de suite indiqué que d’après ses calculs, ma demande de crédit passerait sans problème et qu’il m’avait trouvé un financeur. J’en étais ravi. De mon côté, j’avais pu affiner mon choix de SCPI, convaincu de la nécessité de mixer trois SCPI différentes afin de me constituer un portefeuille équilibré de SCPI.
- Sur quelles SCPI a porté votre choix ?
J’ai scindé mon investissement immobilier entre trois SCPI, à savoir 35 000 euros sur une SCPI de rendement à capital variable européenne spécialisée dans le domaine de la santé, 35 000 euros dans une SCPI diversifiée dont le patrimoine est uniquement situé en France et enfin, les 30 000 derniers euros m’ont permis d’acheter des parts d’une SCPI thématique spécialisée dans le domaine de la logistique.
Bien évidemment, d’autres choix de SCPI s’offraient à moi mais, pour commencer, j’ai préféré agir de la sorte sachant qu’avec les SCPI rien n’est figé et, si je dispose de rentrées d’argent, je pourrai acheter des parts d’une autre SCPI.
- Et un an après, où en êtes-vous ?
Eh bien, je suis très satisfait de mes investissements ! J’ai perçu mes premiers dividendes à l’issue du délai de jouissance de chaque SCPI et ces derniers me servent à rembourser mon crédit. Je dois certes fournir un effort d’épargne chaque mois mais celui-ci demeure modéré. Dans tous les cas, dans maintenant neuf années, j’aurai totalement remboursé mon prêt et les dividendes perçus me permettront de disposer d’un complément de revenu appréciable.
Je précise également, que, comme je n’avais pas l’habitude, Grégorie Moulinier m’a aidé à remplir ma déclaration d’impôt ce qui m’a évité de me tromper. Grâce à ce service supplémentaire entièrement gratuit, je ne peux être que satisfait de mon achat de parts de SCPI, d’autant que je n’ai pas payé ces dernières plus cher que si je m’étais débrouillé seul. Et croyez bien que trouver seul un crédit pour acheter des parts de SCPI ne constitue pas une mince affaire.
- Vous êtes donc prêt à renouveler l’expérience ?
Oui, mais pas tout de suite. Ce qui est certain, c’est que je continue de me documenter en me rendant régulièrement sur le site de La Centrale des SCPI. Je lis également avec attention les bulletins trimestriels des SCPI dont je possède des parts que je reçois chaque trimestre chez moi. Je ne suis certes pas devenu en une seule année un spécialiste des SCPI mais le fait de connaître cet investissement immobilier m’a permis d’en parler à mes amis et plusieurs ont franchi le pas. Tout comme moi, ils ont été très satisfaits des conseils avisés de Monsieur Moulinier.
De mon côté, d’ici deux ou trois ans, j’achèterai sans doute de nouvelles parts, mais cette fois en nue-propriété afin de profiter des possibilités offertes par le démembrement temporaire de propriété. Vous voyez, finalement, une fois que l’on a acheté des SCPI, on ne peut plus s’en passer.
Monsieur Marc L. merci pour votre témoignage instructif qui nous a permis de mieux connaître votre parcours dans le monde des SCPI.