Compléter sa retraite avec le rendement des SCPI
Selon Le Figaro, après les dernières négociations du vendredi 16, un accord semblerait s’établir entre les diverses organisations syndicales et patronales. Seule la question du système de décote de pension doit encore trouver des points d’éclaircissements. Les retraites complémentaires des cadres et des salariés étaient largement menacées, mais le Medef a accepté d’éventuelles hausses de cotisations à l’horizon 2019. Le patronat a tout de même évoqué certaines mesures visant à inciter l’allongement du temps de travail et de repousser les départs à la retraite, et ce notamment pour la génération de 1957.
Le système de décote se verrait ainsi modifié, ne dépendant plus uniquement de l’âge de départ à la retraite ; il y aurait de nouvelles données, fixées sur des bonus ou malus sur le nombre d’années de cotisation.
Aujourd’hui, il faut effectivement avoir 62 ans et avoir cotisé 41,5 ans. Ce qui est éventuellement en train de se mettre en place et qui est en cours de négociation, c’est une petite décote sur la perception de sa retraite qui interviendrait au cours des premières années pour encourager une à trois années de cotisations supplémentaires.
Faut-il compter uniquement sur les pensions de retraites une fois sa carrière professionnelle achevée ? Il existe des solutions d’épargne qui permettent de compléter sa retraite. Celle qui apparaît comme étant la plus profitable est la Société Civile de Placement Immobilier. C’est un placement qui a affiché un rendement moyen de 5,08% en 2014. Il s’agit là de devenir propriétaire de parts, correspondant à un grand ensemble de biens immobiliers loués à des entreprises. L’investisseur, au prorata de son nombre de parts perçoit un loyer trimestriel, assimilable à un revenu foncier.
Complétez ses revenus pour la retraite est une necessité aujourd'hui. Les SCPI peuvent constituer une excellente piste.
A la différence d’un investissement en immobilier traditionnel, destiné à la location pour un particulier, il ne faut pas prévoir la gestion du bien et du locataire : c’est une société gestionnaire que s’en occupe. Plus encore, alors que le ticket d’entrée est largement plus bas qu’un investissement en immobilier classique (on peut devenir associé à partir de 1045 euros par exemple avec la SCPI Corum), il existe plusieurs modes d’acquisition.
Le démembrement temporaire de propriété permet par exemple de se calquer sur son départ à la retraite. L’intérêt est d’acheter ses parts de SCPI moins cher : la contrepartie est que durant une période déterminée, idéalement à fixer selon le nombre d’années avant sa retraite, l’associé ne percevra pas de loyer. La durée achevée, l’investisseur récupère l’usufruit (le pourcentage de la part qu’il n’a pas eu à payer initialement) et peut compter sur des loyers calculés sur la valeur totale de ses parts de SCPI.
Ainsi, acquérir des parts de SCPI en démembrement temporaire de propriété permet d’une part de bénéficier d’un placement sécurisé et de long terme et d’autre part de compléter sa retraite ou ses revenus.
Venez vous renseigner sur ce complément de retraite auprès de La Centrale des SCPI, experte dans le domaine, dotée des meilleurs conseillers, qui maîtrisent parfaitement l’ensemble des questions fiscales corrélées au démembrement temporaire de propriété. La première agence dédiée au placement se situe au 15 rue Saint Roch dans le premier arrondissement.