La SCPI ou l’alternative face aux strictes exigences de l’immobilier locatif traditionnel : focus sur les nouvelles contraintes de la loi Alur
Depuis 2015, une nouvelle loi a été votée. Elle concerne l’urbanisme et l’immobilier. Elle a pour vocation d’encadrer davantage la location, en spécifiant des règles tant sur les droits du locataire que du propriétaire. Pour autant, bien qu’il est tout de même difficile d’établir prématurément des conclusions sur la pertinence de la loi et sur les répercussions sur le marché de la location, il apparaît que le nouveau cadre engendre des rigidités et abaisse le rendement que l’on pourrait espérer en investissant dans un bien immobilier destiné à la location.
A côté des possibilités qu’offre la location classique, il existe une autre forme d’investissement locatif : La Société Civile de Placement Immobilier (SCPI). La location ne s’adresse pas à un particulier mais à plusieurs entreprises, à la grande majorité des grands groupes, parfois internationaux, des grands acteurs de l’énergie à ceux de l’agroalimentaire ou du tourisme, en passant par l’Etat et ses Ministères, sans oublier les géants de la grande distribution ou des services. Des sociétés gestionnaires ont à leur charge un immense patrimoine immobilier, qu’elles vont valoriser en effectuant un certain nombre d’arbitrages, en renouvelant les acquisitions ou en rénovant les infrastructures pour conserver une vraie qualité face aux exigences des locataires, à la recherche de bâtiments aux normes, d’équipements dernières générations, et d’une accessibilité irréprochable.
Lumière sur le programme de la loi Alur, qui revient sur un grand nombre de points.
Premièrement, les honoraires des syndics de copropriété et leur forme de rémunération sont revus, les loyers sont plafonnés afin de réduire le coût du logement et un loyer médian référant est fixé par zone.
Effectivement, l’encadrement des loyers constitue la mesure phare de la Loi Alur. Même si l’adoption de la loi permettra peut être d’augmenter la demande sur le marché de la location, on soulignera tout de même les répercussions évidentes sur le rendement d’un investissement locatif, qui ne seront sans doute pas compensées par la garantie universelle des loyers en cas d’impayés, mesure également entrée en vigueur dans le cadre de la loi Alur. Dans le même temps, les expulsions vont être prévenues, la formation des métiers de l’immobilier va être renforcée et davantage encadrée, la qualité du logement destiné à la location contrôlée et les conditions d’accès au logement social revues.
Mais le plus intéressant dans la loi, c’est la partie qui semble correspondre aux caractéristiques actuelles de la Société Civile de Placement Immobilier (SCPI). En effet, une large partie de la loi Alur vise à promouvoir les « nouvelles formes d’accès au logement par l’habitat participatif ». Il s’agit dans le cadre de ce point de rassembler des familles mutualisant leurs ressources pour gérer, mettre en place et financer ensemble leur logement au sein d’un immeuble collectif ». Au sein des infrastructures gérées par des sociétés gestionnaires de SCPI, plusieurs entreprises sont locataires en partageant les lieux. Cette caractéristique permet une vraie harmonisation du rendement et un bon lissage dans le temps. Pour l’immobilier classique, c’est aussi une manière de partager, diminuer les frais, en adéquation avec la conjoncture actuelle qui oblige la réduction des coûts.
Un autre point est similaire dans la mesure où il s’inscrit dans une logique dans l’ère du temps et qui répond à des préoccupations on ne peut plus actuelles. Il s’agit de la modernisation de l’urbanisme dans une logique de « transition écologique des territoires », cette mesure permettra sans doute de promouvoir les logements « verts », rejetant peu de gaz à effet de serre. Aujourd’hui, c’est véritablement la stratégie d’une SCPI de rendement de la société de gestion Périal, à savoir PFO2, qui a fait le choix de conserver une grande importance aux normes écologiques dont sont labellisés 100% de ses acquisitions. Ces critères précis et déterminants permettent aux entreprises locataires d’effectuer de grandes économies d’énergies, d’autant plus qu’elles sont à la recherche d’une image responsable, éthique et solidaire de l’environnement.
On peut dès lors s’apercevoir combien les SCPI ont un temps d’avance. Les exigences modernes qui les caractérisent confirment un rendement plus qu’intéressant pour les investisseurs qui les ont choisi (en moyenne entre 5 et 6% de rendement sur l’année 2014). Les conditions de location d’un logement pour un particulier reposent désormais sur un nombre effarant de contraintes formulées aujourd’hui sur des pages et des pages. L’investisseur en SCPI est loin de faire face à toutes ces contraintes et fait confiance aux locataires d’une solidité quasi inébranlable.
Si vous aviez décidé de prendre de bonnes résolutions en termes d’investissement locatif classique à la rentrée, sachez que le premier Août est la date tournant dans l’application de loi Alur. Tournez vous donc vers la SCPI, pour un investissement sans contraintes.
La Centrale des SCPI vous aidera à mettre en place la solution d’investissement la plus adaptée. Qu’il soit effectué à crédit, au comptant ou en démembrement temporaire de propriété, toutes les techniques sont maîtrisées par les conseillers aux compétences complémentaires.
En somme, profitez du mois d’Août, avant tout le monde en Septembre, pour mettre en place votre montage : La Centrale des SCPI vous accueille du lundi au vendredi et sur rendez-vous le samedi au 15 rue Saint Roch.