Quel est le meilleur investissement immobilier à réaliser à crédit ?

Sauf cas particulier, investir en immobilier se fait à crédit. Placer son argent à crédit en immobilier permet en effet de profiter d’un effet de levier afin d’augmenter son patrimoine. Avec le niveau encore faible des taux d’intérêt, investir en immobilier à crédit a réellement du sens. Il faut néanmoins trouver le meilleur investissement immobilier à réaliser à crédit. Aussi, faut-il réaliser son investissement à crédit en immobilier locatif traditionnel ou en parts de sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) ? C’est ce que nous allons analyser.

Pourquoi faut-il investir en immobilier à crédit ?

Investir en immobilier à crédit conduit à utiliser un effet de levier afin d’accroître son patrimoine plus rapidement. L’achat est ainsi financé en partie par les loyers versés par les locataires. À l’issue du crédit, généralement entre quinze et vingt ans après sa souscription, ce dernier est remboursé et l’investisseur peut profiter de ses loyers.

L’investisseur doit cependant fournir un effort d’épargne afin de pouvoir régler ses mensualités de crédit avec les loyers qu’il a perçus. Cet effort d’épargne varie en fonction du taux d’intérêt et de la performance de l’investissement mais demeure relativement faible.

Comme l’explique Lionel Benhamou, l’un des associés-fondateurs de La Centrale des SCPI (www.centraledesscpi.com), le premier réseau d’épargne digitale français :

« Outre les taux d’intérêt actuels qui sont encore faibles, investir à crédit en immobilier permet de disposer d’une assurance qui remboursera en lieu et place des investisseurs les mensualités en cas de problème de santé. Les investisseurs qui nous téléphonent au 01.44.56.00.23 savent aussi que les intérêts d’emprunt est les primes d’assurance sont déductibles des dividendes versés par les SCPI dont le patrimoine se trouve en France. »

Pourquoi privilégier les SCPI à un investissement locatif traditionnel afin d’investir en  immobilier à crédit ?

La principale raison poussant les épargnants à investir leur argent à crédit en SCPI plutôt qu’en immobilier traditionnel est que les SCPI sont des produits d’épargne mutualisés permettant de ne pas placer tous ses œufs dans le même panier. Si épargnant investit à crédit dans un seul appartement et si, pour une raison quelconque, le locataire ne paie plus son loyer, cet investisseur se trouvera dans une situation délicate.

Bien sûr, tous les locataires ne font pas défaut mais c’est le cas de plus en plus d’entre eux. En revanche, acheter des SCPI de rendement offre la possibilité de devenir propriétaire de plusieurs dizaines, voire centaines d’immeubles ce qui évite un défaut de paiement global. En outre, tout le travail de gestion étant effectué par des sociétés de gestion spécialisés, les associés porteurs de parts de SCPI de rendement n’auront pas à se soucier du moindre problème.

Sachant que les meilleures SCPI de rendement rapportent autour de 6 % nets par an, il est plus rapide de se constituer un patrimoine immobilier qu’en achetant un appartement à Paris qui ne rapporte, dans le meilleur des cas, que 3 % avant l’ensemble des charges (charges de copropriété, primes d’assurance, taxes foncières, travaux impondérables…).

Aussi, au regard de l’absence de contrainte de gestion, d’une performance de haut niveau et d’une mutualisation exceptionnelle, il vaut mieux investir à crédit en SCPI de rendement que dans un appartement locatif.

Comment faire pour financer à crédit ses parts de SCPI de rendement ?

Il faut d’abord garder à l’esprit que toutes les banques ne financent pas l’achat de parts de SCPI. Une majorité de celles qui le font financent uniquement leurs SCPI, c’est-à-dire celles qu’elles ont créées et dont elles assurent la gestion. Le choix des SCPI est donc en l’espèce réduit à sa portion congrue.

C’est pour cela qu’il faut absolument passer par des spécialistes des SCPI afin de faire d’une pierre deux coups, à savoir trouver les meilleures SCPI de rendement et le meilleur crédit SCPI. Cette stratégie permet de gagner du temps et d’être certain d’acheter ses SCPI aux meilleures sources et aux meilleures conditions.

Comme le prix des parts des SCPI est le même quel que soit le canal de distribution et que ces consultants agissent en totale indépendance, il n’y a aucune crainte à avoir. Pour ce qui concerne le financement de son portefeuille SCPI, ces spécialistes travaillent avec un ensemble de banques afin de faire jouer la concurrence entre elles et de faire profiter leurs clients des meilleurs taux de financement.

Comme l’observe Laurent Fages, manager au sein de La Centrale des SCPI :

« Plus de la moitié des investisseurs qui achètent grâce à nos conseils des SCPI le font à crédit. Ils savent qu’ils seront gagnants sur le long terme et qu’ils augmenteront à la fois leur patrimoine et leur pouvoir d’achat. Avec le retour de l’inflation, il est aussi extrêmement intéressant d’acheter ses parts de SCPI à crédit ce qui réduira, toutes choses égales par ailleurs, son encours d’emprunt défalqué de l’inflation. »

Investir en immobilier à crédit tombe sous le sens de tous les investisseurs souhaitant se constituer à moindre frais un patrimoine immobilier. L’effet de levier permet en effet d’augmenter son patrimoine avec un effort d’épargne minoré. Il est certes possible d’acheter de l’immobilier locatif traditionnel à crédit mais ce n’est pas la meilleure solution au regard de toutes ses contraintes. Mieux vaut donc opter pour les SCPI de rendement et en mixer au moins trois pour optimiser son portefeuille SCPI.

Afin d’être certain de trouver les meilleures SCPI et le meilleur crédit SCPI, il convient de passer par des spécialistes, comme ceux de La Centrale des SCPI (01.44.56.00.23), le premier comparateur SCPI du marché.

Parce qu’il est encore temps de profiter des taux d’intérêt actuels qui devraient remonter sous peu en raison de la hausse de l’inflation, il ne faut pas hésiter à effectuer son achat de SCPI de rendement. Si le temps c’est de l’argent, l’argent c’est aussi du temps. Il faut donc en profiter et agir parce que les « si j’avais su… » minent le moral.